mercredi 30 avril 2008

« Racisme » ? Ne fait pas partie de mon vocabulaire.

- Photo prise ici

Magnifique. N'est-ce pas ?

J'ai aussi trouvé un texte absolument magnifique. J'ai l'habitude de vous partager mes propres réflexions - même si je suis sûre que bien peu de gens les lisent. Néanmoins, aujourd'hui, je laisse le texte parler de lui-même.

Le texte a été pris sur le blog de ma soeur adorée, Camille.


Bonne lecture !


Dans un avion :

- Quel est votre problème, madame ? demanda l'hôtesse.

- Mais vous ne le voyez donc pas ? répondit la dame. Vous m'avez placée à côté d'un noir ! Je ne supporte pas de rester à côté d'un de ces êtres dégoûtants. Donnez-moi un autre siège !

- S'il vous plaît, calmez-vous, dit l'hôtesse. Presque toutes les places de ce vol sont prises, je vais voir s'il y a une place disponible.

L'hôtesse s'éloigne et revient quelques minutes plus tard.

- Madame, comme je le pensais, il n'y a plus aucune place libre dans la classe économique, j'ai parlé au commandant et il m'a confirmé qu'il n'y a plus de place dans la classe exécutive. Toutefois, nous avons encore une place en première classe.

Avant que la dame puisse faire le moindre commentaire, l'hôtesse de l'air continue :

- Il est tout à fait inhabituel dans notre compagnie de permettre à une personne de classe économique de s'asseoir en première classe, mais vu les circonstances, le commandant trouve qu'il serait scandaleux d'obliger quelqu'un à s'asseoir à côté d'une personne aussi répugnante.

S'adressant alors au noir, l'hôtesse lui dit :

- Donc, monsieur, si vous le souhaitez, prenez votre bagage à main, car un siège en première classe vous attend.

Et tous les passagers, autour, se levèrent et applaudirent.

lundi 28 avril 2008

Dure soirée


Voici un texte que j'ai écrit, un soir de ... d'émotivité à haut degré, disons.

Je trouve que ces fortes émotions font naître de si beaux textes ...

... Mais, en même temps, j'aime mieux les éviter. Je ne sais pas pour vous, mais moi, je ne les trouve aucunement agréables !

Alors donc, je vous partage ce texte.

Bonne lecture ?


« Mélangée, ce soir, c'est le mot qui me décrit.

Vous savez, j'ai tendance à me faire certaines illusions pas toujours vraies à propos de certaines personnes. Illusions ... non, en fait, je ne sais pas trop. C'est peut-être moi qui change, qui sait. Oui, je change. Mais pourquoi ? Parfois, ç'a du bon. Parfois, non. Je ne sais plus quoi penser. Je pleure. Les larmes abondent dans mes yeux, j'ai peine à voir cette feuille. Les sanglots secouent mon corps, j'essaie de les taire. Je ne veux pas que quelqu'un les entende. J'aimerais et rêve tant d'un jour, me faire consoler, mais, en même temps, l'orgueil me prend par surprise. Je dois me montrer forte. Malgré mon hypersensibilité. Tout me touche. Tout m'émeut.

Reste que je me déçois. Mon entourage me conseille. Ces conseils sont-ils bons ? Mon âme me conseille. Et est automatiquement contredite par ma conscience. J'ai des idées, je ressens des choses. Mais j'ai peine, parfois, à les dire. C'est dur. J'accumule mes tristesses, mes colères. Et, comme ce soir, tout éclate, la goutte de trop est arrivée. Le barrage cède et je pleure pendant des heures.

Des choses m'énervent, m'attristent. Et c'est humain. Mais j'accumule le tout. Je ne les dis pas, de peur de défaire la perfection que j'aimerais atteindre dans certaines relations. Mais quand mes émotions raflent de près le ras bord, je deviens froide. Mes réflexions ne sont plus les mêmes. J'ai toujours besoin de penser. Et le processus me semble long, les pensées semblent prendre une éternité à se développer dans mon esprit. Je suis plongée au plus profond de moi-même et mes contacts avec les gens écopent. Mademoiselle Joëlle, j'ai une grave nouvelle pour vous. Vous n'êtes pas parfaite. Vous êtes ... humaine.

Mais pourquoi ? Je regarde ce ciel et il semble vouloir pleurer avec moi. Pourtant, des gens plus heureux doivent regarder ce ciel et se dire qu'il est joli et romantique. Pas moi. Réflexions obligent. La conscience domine. Le coeur a pris le bord. La tête mène. Ou rien, tout simplement. Suis-je folle ? Pourquoi est-ce que je pleure ainsi ? Ces derniers temps, je vivais le parfait bonheur. J'accumulais ? Je ne me rendais pas compte. Accumulais quoi ? Aucune idée.

Les fortes lumières de la salle de bains m'observent. Le carrelage de céramique semble me comprendre. Mes pieds nus le touchent. Ou est-ce la céramique qui touche mes pieds ? C'est froid. Je sens des courants d'air sur ma peau. Je suis sensée aller me doucher. Mais je reste de marbre. Je pense. Encore.

N'allez pas penser que j'ai un problème de santé mentale. Docteure Joëlle l'a annoncé ; Joëlle est humaine. Elle a craqué. Mais pas de là à tomber en dépression. Simplement que ces larmes n'avaient plus leur place dans son corps. Peut-être y faisait-il trop chaud ?

Dans ma tête, ça cogne. Oui, entrez ? Personne. C'est les sanglots qui font ce vacarme.

J'ai ressenti quelque chose. Je l'ai dit. Je n'aurais peut-être pas dû. Non, c'est peut-être bien que je l'aie fait. Ça peut peut-être faire avancer les choses. Mais c'est dur. J'en souffre. Je ne me comprends plus. Cet état d'âme, qu'est-ce ? Es-tu folle, Joëlle ? Non, ça va aller, l'espoir est avec toi. Mais je veux tellement que personne ne m'en veuille. Oh là là.

Je me lève. Me dirige vers le miroir, ami ou ennemi, dépendant. Aujourd'hui, c'est mon ami. Il semble vouloir me réconforter. Du moins, il me fait voir la vérité. J'ai les yeux rouges et bouffis. Il y a une rivière sur mon visage. Respire. La respiration écope, elle aussi, les sanglots y sont pour quelque chose. Mais rien de grave.

Si je voulais vous représenter mon état mental, pensez à un navire. C'est moi. Et ma tête, c'est la mer. Mon état d'âme, le fait que je sois mélangée, indécise, c'est la tempête. Les vagues se succèdent et sont violentes, ça, c'est mes sanglots.

Puis soudain, la tempête se calme. Je vais aller prendre ma douche, tout compte fait ... »

jeudi 24 avril 2008

Évolution des dernières années !

Aïe, aïe, aïe ...

Pour ceux qui se sentent concernés !

Je regardais les photos du Cosmodôme, en secondaire un. Maudit qu'on a l'air flos, pareil !

Heu, non ... on l'était, carrément ! Ça me fait toujours rire de regarder ça ...

... J'habite à Val-Alain, hein, il ne faut pas l'oublier.

Donc j'ai décidé de vous montrer à l'aide de magn... - ish, j'allais dire magnifiques ! - photos remontant de mon secondaire un à cette année, aïe !

Admirez.



Pour mon Secondaire I ... Voici ce, plutôt horrible, - il faut se l'avouer - souvenir !

12 ans, à l'époque, hum.


Bon ... douteux !

Continuons avec le Secondaire II, déjà un peu moins douteux, quoique ...

13 ans.



Passons donc au Secondaire III.

14 ans ? ... Dans les environs.



Cet été, 15 ans.

Et me voilà ! Photo très récente ! 16 ans.


Hihihi ... Je suis certaine que ça a ramené des souvenirs à ceux qui me connaissent ! Pour les autres, ben vous m'avez vue évoluer en peu de temps, voilà donc ! En tout cas, pour ma part, j'ai bien rigolé ...

mardi 22 avril 2008

Parce que, bon.


« Anyway, parce que le monde devient individualiste ... »

Parce que je suis moi. Je ne suis pas toi, ni elle, ni lui, ni vous.

Mais aussi parce que toi, elle, lui, vous, vous êtes moi. Que vous faites partie de moi. Que sans vous, je ne serais pas celle que je définis comme étant … moi.

Moi, c’est plus de 6 milliards de personnes sur cette planète. Mais aussi Joëlle, une adolescente sans histoire qui habite dans un village qui, apparemment, lui aussi, est sans véritable histoire.

Je n’ai pas de code barre, je n’ai pas de prix. J’ai une vie. Et celle-ci vaut plus cher que ce que tu pourrais le croire. Je ne suis pas un dossier classé. Que tu veuilles savoir combien je mesure, de quelle couleur sont mes cheveux, mes yeux, ma peau … je m’en fous. Mais ne va pas croire que c’est juste ça, moi.

Les gens me regardent ... ils me jugent probablement. Pourtant, je suis une fille sans rien de marginal, mais qui a probablement l’air ridicule. Je n’ai rien d’une musicienne, d’une sportive, d’une soit disant « populaire », d’une bitch, etc.

Je ne suis probablement pas la plus belle. Et je le sais. Personne n’a besoin de me le rappeler. Mais j’ai besoin de sentir que quelqu’un m’apprécie ; ça, j’ai besoin de le savoir. Je ne suis pas la plus laide non plus. Les commentaires pertinents et surtout agréables à l’oreille font d’une personne quelqu’un qui est en bonne santé mentale. Vous saviez ça ? Que tu trouves que mon chandail ne m’avantage pas, tu peux le penser ; mais garde-le pour toi. Moi, ceux qui ont des préjugés, je n’ai rien contre eux : ils sont eux-mêmes. Mais c’est quand même un trait que je n’aime pas trop chez certaines personnes. Mais je n’irai pas dire que je ne les aime pas. Ça, ça serait un préjugé. Non ?

J’aime écrire. Je ne sais pas dessiner, encore moins faire des fleurs en peinture acrylique à l’aide d’une spatule dans le cours de Mme Geoffroy. Mais écrire, ça, je sais. Pouvoir mettre des mots sur les choses, ça m’importe beaucoup, ça m’est cher. Que les gens qui croient que … parce que je me soucie de mon orthographe, que parce que j’exige toujours le meilleur de moi-même, que parce que, au lieu d’aller prendre des photos de moi en camisole au décolleté hideux pour me montrer, j’écris des poèmes … que ces gens-là croient que, à cause de tout ça, je suis pas comme eux, nécessairement, je les félicite. Ils ont entièrement raison …

… Je ne veux pas vivre dans un moule.

Tout simplement parce que je n’entre pas dedans.

Peut-être que je n’en ai pas l’air. Tout est psychologique.

Je n’ai aucun repère, je ne serai pas reconnue parce que je porte telle jupe tel jour, que j’ai les cheveux d’un blond platine, etc. Je ne fais pas partie d’un groupe quelconque. Je vis ma propre vie, au jour le jour.

Et adviendra bien ce qui pourra.

Je suis une hypersensible. Quand je vois un enfant, un beau paysage, un animal, je fonds. Je pleure pour diverses raisons, parce que ça ne me tente pas de tout garder en dedans. Je suis une amoureuse de la vie. Elle peut être bien méchante, mais sa gentillesse et sa magnificence sont le triple.

Les amours et les amitiés, les relations humaines peuvent être bien éphémères. Mais on devra tous cohabiter avec nous-même. Tu devras vivre avec toi, tu devras t'endurer ... Et ce pour le restant de tes jours. Amen. Aimez-vous donc un petit peu … comme j’essaie justement de le faire : M'aimer. Pour mieux vous aimer. On est tous différents intérieurement, même si vous semblez vouloir vous faire croire que non par vos apparences.

Mais les apparences sont trompeuses.

Ne croyez pas que j’essaie de me croire bien différente, tellement mieux que vous. Tellement pas. Je suis moi, vous êtes vous. Et ensemble, on forme un monde. Étiez-vous au courant ? Parce que certains ne le semblent pas.

Parce que je me découvre continuellement, et que je suis tout simplement …

… Moi.

vendredi 18 avril 2008

Guatemala, été 2009


















Hier, j'avais entendu l'annonce à l'intercom disant que tous ceux inscrits pour le voyage humanitaire au Guatemala devaient se rendre au Katimavik le lendemain, à 12:30.

J'étais maintenant assise à la bibliothèque, mon livre ouvert devant moi. Je n'arrivais pas à lire ; j'avais peur pour la réunion ...

« S'ils nous convoquent AVANT les entrevues, c'est probablement qu'il y a quelque chose qui cloche ... Non ? » pensais-je.

J'étais toujours très ponctuelle. Je fixais l'horloge. Les aiguilles semblaient se mouvoir avec peine et lenteur. Je ne voulais pas arriver trop tôt, histoire de ne pas paraître trop inquiète ...

12:27. Je me lève d'un bond, attrape mon agenda recouvert d'une carte du monde - c'était ce que j'avais fait comme scrapbooking quelques temps auparavant. Je faillis oublier mon fameux roman relatant une histoire d'adoption en Chine.

Puis, je filai vers l'endroit convenu.

Je lançai un « Salut ! » tout sourire à deux des organisateurs et entrai.

Je longeai le couloir et allai m'asseoir avec la quarantaine d'ados impatients.

Quelques minutes plus tard, la rencontre avait débuté. Ils nous parlaient des entrevues écrites. Puis ils nous firent attendre, faisant quelques allusions au sujet principal par leurs « On le dit tout de suite ? Non ... », etc.

- ... Il y a beaucoup trop de personnes inscrites, annoncèrent-ils.

Mon coeur se mit à battre à une force telle que j'espérais que les autres ne l'entendent pas ! Je voulais y aller à tout prix. Je croisais les doigts.

- Nous devrons donc ...

Tout le monde retenait son souffle.

- ... Créer deux groupes et emmener tout le monde !


J'étais tellement heureuse et soulagée ! Je vais pouvoir le faire, ce voyage humanitaire ! Aller les aider et tout ... Wow.

C'est tellement dur de vous décrire la joie et l'énergie qui m'envahissent encore ! Je vais persévérer à fond pour cette mission, disons.

J'en perds mes mots.

Bref, je vous explique. J'irai en voyage humanitaire, avec Jeunesse Sans Frontières, à mon école, pour une période de 3 semaines. Ce sera dans un orphelinat de garçons, et nous irons travailler. Probablement au Guatemala, mais il se peut que ce soit le Pérou. Ou la Bolivie, ou le Paraguay ...

Je suis certaine que, lorsque je relirai ce texte, je vais probablement me dire que j'ai oublié d'écrire certaines choses, mais la joie me coupe de mots !

Au plaisir de vous partager un peu de mon bonheur !

mercredi 9 avril 2008

C'tu moi qui est vieille ou ben ...

Non, je ne vous embarasserai pas de mes réflexions de vieillesse - faut croire que tout est dans la tête - ni de mes « Mais le temps passe donc ben vite ! » ... Mais j'ai l'impression, non pas d'être incomprise, mais de pas comprendre les autres ! L'incompris, dans l'histoire qui va suivre, c'est Édouard, mon cousin ...


... de 3 ans.

Bon, on s'entend que j'ai seulement 16 ans - même pas encore une adulte, « on s'entend tu que hein ! » ... Mais j'ai l'impression d'être carrément décalée d'années-lumières avec mes cousin(e)s - le plus vieux a 10 ans, la plus jeune, 1 mois (ma mère était en avance, faut croire).

Pour vous situer, l'action se passe à notre (mes tantes jumelles, mon cousin de 10 ans, ma soeur et moi) anniversaire, en mars dernier.

Mon amie, fraîchement revenue de Jamaïque, me raconte avec passion son fabuleux voyage. Soudain, quelqu'un me tire la manche de chandail, et je me retourne.

Cousin incompris me regarde et me souris d'un sourire ... angélique ?

Québécoise pas vite-vite : Salut, Édouard ! (Avec une joie exagérée dans la voix, mais hyper contente de le voir tout de même, mais c'est de même avec les enfants, c'est plus fort que soi, faut croire).

Cousin incompris : ...

Il me fixe de son sourire et ne sourcille aucunement.

Québécoise pas vite-vite : Comment ça va, Ti-Lou ? Tu t'amuses ?

Cousin incompris : ...

Toujours pareil.

La Québécoise pas vite-vite essaie de comprendre le message de Cousin incompris, sans succès. Le fixe, sans résultat.

Puis Cousin incompris se « tanne » et met avec énergie ses poings sur ses hanches et me témoigne le fait d'être carrément incompris par la cousine pas vite-vite de 16 ans - trop vieille, faut croire.

Attente ...

... Puis il pointe avec toute sa vigueur son chandail.

Québécoise pas vite-vite : Ah ! Mais y'est donc ben beau, ton chandail, Édouard !

Cousin incompris est satisfait et s'en retourne, ravi.

Ahhh, la jeunesse ...

lundi 7 avril 2008

Philosophie d'un lundi nord-américain




Aujourd'hui, dans mon cours d'Éthique & Culture Religieuse, nous parlions de l'hindouisme.

Un extrait de la Bhagavad Gîta a particulièrement attiré mon attention, celui dont l'enseignante a parlé.

Ça disait : « Car celui qui naît doit mourir. À quoi bon gémir l'inévitable ? »

Je ne le dis peut-être pas dans les mots exacts, mais vous en comprenez tout de même le sens ...

La mort est inévitable. Quand on se bat contre un adversaire impossible à battre, qui va perdre ? C'est assez évident, nous sommes tous perdants contre la mort. Nous pouvons l'éloigner, la renier, si vous voulez, mais elle restera présente ... jusqu'à la fin de vos jours, forcément !

Comme Thérèse, mon enseignante, nous l'avait fait remarquer, nous, nord-américains, nous avons tendance à vouloir oublier que la mort existe. Nous voudrions nous sentir si forts, puissants ... Et pourtant. Que vous appliquiez cette petite crème anti-rides ne changera rien du tout, sauf le moment présent ! Allons donc.

Mais je ne dis pas qu'accepter la mort soit facile ! J'ai encore longtemps pour l'accepter, ça ne se fait pas en claquant des doigts ! J'ai encore une certaine ... réticence ? Disons que c'est assez fort pour me faire apprécier chaque parcelles de la si belle chose appelée ... vie ! Mais je souhaiterais, un jour, atteindre l'immense sagesse d'en prendre véritablement conscience et de bien vouloir accepter ce fait de la vie ...

samedi 5 avril 2008

Réflexions d'une journée ensoleillée




« Amour, nom masculin

Sentiment d'affection, d'attirance sentimentale
et sexuelle entre
deux personnes. »

« La mesure de l’amour, c’est
d’aimer sans mesure »

- Anonyme


L'amour ... c'est ma drogue. Quoi dire de plus ?

Le pot, la mari, l’ecstasy, ça ne m’intéresse pas. L’alcool, la cigarette et tous ces trucs non plus.

Tomber en amour, c’est la sensation la plus forte à laquelle nous pouvons accéder. Pour dire que seulement en sentant son regard sur nous, on en frémit. On en veut toujours plus. Comment faire pour y rester indifférent ? On en devient carrément dépendants …

On sait que tout peut s’écrouler, mais on s’y rattache, on se croit plus forts que tout. Et c’est …

… Magique. Difficile à croire que c’est une célibataire qui parle, hein ? Oui et non. Puisque ça me manque, être en amour.

Oui, amour ne signifie pas que relation entre deux personnes, le genre amour, amour … il y a l’amitié, la famille.

Mais de se sentir aimée et désirée, c’est plus fort encore. C’est excitant, c’est … vraiment dur à décrire, mais j’aime l’amour.

De sentir qu’on peut se confier, qu’on peut le regarder droit dans les yeux … De recevoir de ses baisers, de ses caresses … En vouloir toujours plus.

L’excitation de faire tomber les barrières et de se lancer vers l’inconnu, de s’abandonner à cette personne, ne serait-ce que pour un instant, un moment. Et que ce moment reste gravé à jamais, qu’il soit toujours aussi savoureux jour après jour.

L’amour me manque, j’ai le goût de connaître quelqu’un qui me fera sourire, frémir, rire … Oh, mais ça rime. Bref, Cupidon, sors de ta cachette !

P.S.: La photo, c'est mon chat. La photographe, c'est ma fantastique soeur !