lundi 17 décembre 2007

La lune, tu regarderas ?

C'était un beau soir en un début d'été frisquet.

Oh ! Comme la lune était belle ! J'adore les étoiles, ainsi que la Lune. (Étant une rêveuse née !)

Il était tard, j'avais cours le lendemain. Mais j'ai monté les escaliers, dans la maison, à pas de souris et ai aperçu la belle lune brillante qui illuminait nos portes vitrées. Je devinais son reflet au travers du rideau.

Je voulais la regarder mieux, j'écarterais ce foutu rideau !

Ce que je fis. J'écartai le rideau de ma main et regardai, dans la porte, la Lune.

Malheur ! « Qui est-ce, cette personne dehors, dans la porte ?! »

Mon coeur battait à tout rompre. Il y avait quelqu'un dans la porte, ce ne pouvait être possible ! Peureuse de nature, je craignais je-ne-sais-quoi. Je sentais mon sang se refroidir, se réchauffer ... Et je figeais !

Jusqu'à ce que ...

Je réalise que la personne, dans la porte, c'était mon reflet dans le verre.

samedi 15 décembre 2007

C'pas solide, un chandelier

Je revenais de Montréal. J'avais offert un cadeau, tout fraîchement du Salon du Livre de MTL, à ma soeur. Le 10e de Leonis, signé par Mario Francis. Elle était contente !

Du moins, en apparence ?!

Et Andréa, mon amie, était chez moi pour terminer un projet.

Nous étions donc à table, essayant de terminer l'écriture de notre présentation orale.

Puis nous commençons la « bataille » de l'année, riant comme des folles.

Mon crayon, c'est mon épée, bon !

Ma soeur, armée d'un chandelier, veut me brûler ! (Il n'était pas allumé, ouff !)

Et la guerre terrible se continue.

« Je t'attaque ! Avec mon chandelier virtuellement allumé, attention, tu seras brûlée grave ! » clama-t-elle.

Et elle mime de m'attaquer d'un élan.

La chandelle, pas très bien fixée, part.

Et arrive ... Dans mon front.

C'est beau, un bleu, dans un front !

Tête en l'air

Tout à l’heure, j’étais sur le point d’aller prendre ma douche. Je descends à ma chambre et va chercher mes vêtements.

Je trouve des sous-vêtements, okay, mais …

Où était passé mon pyjama ?! Malheur !

Je cherche, je cherche …« Mais voyons, il ne peut pas s’être volatilisé, tout de même ! » me disais-je, fatiguée de chercher.

Je me dis que je vais prendre un autre pyjama … Je repars ensuite pour remonter et aller prendre ma douche, quand soudain, je passai devant le miroir.

Où était le pyjama ?! Sur moi ! …

dimanche 4 novembre 2007

Et s'immobilise le Père Noël !

C'était en décembre d'une année (je suis la précision même, avouez). Noël approchait à grands pas. Nous avions même décoré notre maison pour la belle occasion !

Nous étions le soir. Dans la maison. J'étais sur le fauteuil. Nous venions tout juste de laver notre chien, Grichou (beau nom, n'est-ce pas ?), pour qu'elle soit toute propre (pour rencontrer Papa Noël ?).

Sauf que notre chien a très peur de l'eau, vous savez. Mais, cette soirée-là, elle avait affronté l'épreuve avec courage ...

Ensuite, elle se promenait dans le salon, toute trempée, c'était bien drôle à voir.

Puis je vois qu'elle n'a pas son collier dans le cou. J'appelle Grichou pour lui remettre au cou.

Je suis assise sur le fauteuil. À côté de moi, une table de salon. Dessus, un napperon de dentelle avec, posé dessus, une décoration de Noël (un Père Noël en porcelaine !), une assiette en porcelaine et le collier, évidemment.

De toute ma grâce (...), j'attrape le collier très rapidement pour ne pas que ma chienne s'enfuie.

JACKPOT !

J'ai attrapé le napperon en dentelle et l'ai tiré très vite ...

Tellement que, croyez-moi ou non, rien n'a bougé d'un poil !

Magie ...

samedi 6 octobre 2007

Ridiculisée ... par moi-même

C'était l'an passé, en Secondaire 3 ...

Je sortais de mon cour d'Éducation Physique. Pour se changer, mon amie Andrea et moi, nous nous changeons toujours dans les douches.

Toute en sueur (après le dur cour de Volley Ball, vous voyez), j'essaie péniblement d'enfiler mon chandail. Essaie en peine de l'enfiler, se met en colère contre le chandail ...

Mon amie, dans la douche à côté, me lance :

- Heu ... est-ce que ça va, Jo ?
- NON, ça ne va pas ! hurlai-je, je suis incapable d'enfiler mon stupide chandail ! Non, mais faut le faire !
- Ah ... répondit-elle.

Je réessaie encore, après une dure lutte avec le méchant chandail. Je vais super vite, et hop ! je lève mon bras et réussis ...

... En accrochant le bouton de la douche.

J'hurle et pousse rapidement mon sac de vêtements hors de la ''cabine'', de la douche.

Résultat ? J'ai enfin mon chandail sur le dos ... et je suis toute trempée ! Je vide mes souliers qui sont remplis d'eau.

Morale de cette histoire ?

Laissez-moi y réfléchir ...

Se changer dans une douche n'est pas efficace. Mais surtout, surtout ... Passer le reste de la journée toute trempée n'est vraiment pas agréable !

vendredi 17 août 2007

Une tasse pour les gauchers !

Tiens, tiens, une autre anecdote pour vous ...

Une soeur de mon grand-père était en visite chez mes grands-parents.

Dans la soirée, habituellement, nous prenons toujours un petit café. Et elle en avait pris un. Ma grand-mère le prépare et lui emmène sur la table. Le mari de celle-ci attrape rapidement la tasse avec sa main gauche et lui lance : « Hé, regarde ça, Aline ! Une tasse pour gauchers ! ».

Et elle, nerveuse de nature, elle était vraiment impressionnée, voyez-vous. « Une tasse pour gauchers ! Je n’avais jamais vu ça de ma vie ! »


C'était très comique ...

jeudi 16 août 2007

Quand la Floride rencontre Molière

Je le savais ! J'étais certaine que le titre allait attirer votre attention !

Ou bien c'est le fait que l'article, pour le moment du moins, est le premier que nous apercevons en arrivant sur cette page ... M'mm ... Enfin bref.

Je me rappelais des souvenirs d'enfance et un assez comique m'est revenu. Ceci n'est pas arrivé à moi, mais à un grand oncle à moi. C'est mon grand-père qui m'avait raconté cette anecdote ...

Il travaillait à reconstruire une rue en Floride. Bien qu'il soit Québécois, il était envoyé là-bas pour son travail.

En travaillant, ils créaient certainement un embouteillage, et c'est normal. Mais les gens détestent les embouteillages. Certains perdent patience.


Un moment donné, faisant son travail, malgré le grand bruit, il entend une dame qui perdait patience. Qui "chialait", en bon Québécois. Cette dame-là était une francophone, Québécoise de plus, mais elle était en Floride. Elle ne croyait pas que quelqu'un allait la comprendre, vous savez ...

Donc elle dit, et assez fort, "Ah sont donc ben cons pis lents eux-autres, y pourraient s'grouiller l'cul un peu, hein !".

Puis mon oncle arrête son travail et va voir la dame à leur auto. La fenêtre était ouverte. Il lui lança "Le con lent va s'grouiller l'cul, okay ? Ça s'ra pas ben ben long ..."

Ai-je besoin de vous dire que la dame, apparemment (et je n'ai pas de doutes à ce sujet), est restée bête ?

Non, mais il faut bien voyager pour rencontrer des gens de chez nous ...

C'est ceci qui arrive lorsque la Floride rencontre (la langue de) Molière !

lundi 13 août 2007

Une autre, encore !

Une autre, encore ! Eh oui, b'ah voilà !

Une autre quoi, me direz-vous. Une autre "bloggeuse", si vous me permettez le terme.

Mais ne vous attendez pas aux articles de l'année ! Non, non, non.

Simplement des articles à propos de sujets intéressants, touchants, fâchants ...

Enfin, vous comprenez le principe, non ?

Une présentation ?

N'ah.

Vous découvrirez bien par vous-même qui est Joëlle par le biais de mes messages postés ...

Sur ce, je vous dis ...

À la prochaine !


- Joëlle